17/06/2009
Russian Folk Those Were the Days, Balalaika ISH Washington
Those Were the Days (chanson)
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Those Were The Days est, à l'origine, une vieille chanson du folklore tzigane roumain ou russe, encore souvent jouée aujourd'hui par les musiciens ambulants.
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Histoire [modifier]
Le premier enregistrement connu est celui d'Alexander Vertinsky dans les années 1920.
Elle a été déposée par Boris Fomin (1900-1948) avec des paroles de Konstantin Podrevskii sous le titre Дорогой длинною (Dorogoi dlinnoyu). [réf. nécessaire] La chanson a connu un certain succès au début des années 1960 par Les Limelighters. Sur la même mélodie, Gene Raskin [1] a écrit des paroles anglaises qui parlent des vieux jours : on était jeunes et romantiques .
Puis, Mary Hopkin, sur les conseils de Paul McCartney, l'enregistre pour son premier single. McCartney est le producteur, elle sort sur la maison de disque des Beatles sous le numéro (catalogue Apple 2) (le numéro 1 étant un titre des Beatles), il devient vite numéro 1 un peu partout dans le monde et fait partie des singles les plus vendus au monde[réf. nécessaire].[2]
Adaptations en d'autres langues [modifier]
La chanson a été reprise par la suite en français (Le temps des fleurs), en allemand (An jenem Tag), en espagnol (Que Tiempo Tan Feliz), en italien (Quelli Erano Giorni) et en plusieurs autres langues (suédois, polonais, hongrois, hébreu...) et popularisée dans de nombreux pays par divers interprètes, parmi lesquels Dalida (versions française et italienne).
Une version en russe (une re-traduction en russe du texte anglais de Gene Raskin) a été interprétée par Ivan Rebroff sous le titre « такие дни, мой друг », (Takié dny, moï drug, Ces jours là, mon ami).
Paroles en russe [modifier]
de Podrevskyi (Слова К.Подревского)
 Ехали на тройке с бубенцами,
А вдали мелькали огоньки...
Эх, когда бы мне теперь за вами,
Душу бы развеять от тоски!
 Припев :
 Дорогой длинною,
Погодой лунною,
Да с песней той,
Что вдаль летит звеня,
И с той старинною,
Да с семиструнною,
Что по ночам
Так мучила меня.
Да, выходит, пели мы задаром,
Понапрасну ночь за ночью жгли.
Если мы покончили со старым,
Так и ночи эти отошли!
(Припев)
В даль родную новыми путями
Нам отныне ехать суждено!
Ехали на тройке с бубенцами,
Да теперь проехали давно!
Music and Lyrics by Russian composer Boris Fomin
Once upon a time there was a tavern
 Where we used to raise a glass or two
 Remember how we laughed away the hours
 And dreamed of all the great things we would do
 
 Those were the days my friend
 We thought they'd never end
 We'd sing and dance forever and a day
 We'd live the life we choose
 We'd fight and never lose
 For we were young and sure to have our way.
 La la la la...
 Those were the days, oh yes those were the days
 
 Then the busy years went rushing by us
 We lost our starry notions on the way
 If by chance I'd see you in the tavern
 We'd smile at one another and we'd say
 
 Those were the days my friend
 We thought they'd never end
 We'd sing and dance forever and a day
 We'd live the life we choose
 We'd fight and never lose
 For we were young and sure to have our way.
 La la la la...
 Those were the days, oh yes those were the days
 
 Just tonight I stood before the tavern
 Nothing seemed the way it used to be
 In the glass I saw a strange reflection
 Was that lonely woman really me
 
 Those were the days my friend
 We thought they'd never end
 We'd sing and dance forever and a day
 We'd live the life we choose
 We'd fight and never lose
 For we were young and sure to have our way.
 La la la la...
 Those were the days, oh yes those were the days
 
 Through the door there came familiar laughter
 I saw your face and heard you call my name
 Oh my friend we're older but no wiser
 For in our hearts the dreams are still the same
 
 Those were the days my friend
 We thought they'd never end
 We'd sing and dance forever and a day
 We'd live the life we choose
 We'd fight and never lose
 For we were young and sure to have our way.
 La la la la...
1. Dans une taverne du vieux Londres
 Où se retrouvaient des étrangers
 Nos voix criblées de joie montaient de l'ombre
 Et nous écoutions nos cœurs chanter
 
 C'était le temps des fleurs
 On ignorait la peur
 Les lendemains avaient un goût de miel
 Ton bras prenait mon bras
 Ta voix suivait ma voix
 On était jeunes et l'on croyait au ciel
 La, la, la...
 {On était jeunes et l'on croyait au ciel}
 
 2 . Et puis sont venus les jours de brume
 Avec des bruits étranges et des pleurs
 Combien j'ai passé de nuits sans lune
 A chercher la taverne dans mon cœur
 
 Tout comme au temps des fleurs
 Où l'on vivait sans peur
 Où chaque jour avait un goût de miel
 Ton bras prenait mon bras
 Ta voix suivait ma voix
 On était jeunes et l'on croyait au ciel
 La, la, la ......
 {On était jeunes et l'on croyait au ciel}
 
 3. Je m'imaginais chassant la brume
 Je croyais pouvoir remonter le temps
 Et je m'inventais des clairs de lune
 Où tous deux nous chantions comme avant
 
 C'était le temps des fleurs
 On ignorait la peur
 Les lendemains avaient un goût de miel
 Ton bras prenait mon bras
 
16:06 Écrit par xavier de couesbouc | Lien permanent | Commentaires (0)
 


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